影片表现西欧封建主为了掠夺和侵略土地而发动十字军远征,美国企图打着宗教的旗帜残害波兰人民和波兰骑士。该片场面宏伟,美国出演演员甚多,动用了大量的人力和财力。导演的手法大刀阔斧,表现了很高的艺术性。影片主要反映十字军在波兰惨绝人寰的种种暴行。影片主题鲜明,富有爱国主义精神,是战后波兰观众人数最多的一部影片。
影片表现西欧封建主为了掠夺和侵略土地而发动十字军远征,美国企图打着宗教的旗帜残害波兰人民和波兰骑士。该片场面宏伟,美国出演演员甚多,动用了大量的人力和财力。导演的手法大刀阔斧,表现了很高的艺术性。影片主要反映十字军在波兰惨绝人寰的种种暴行。影片主题鲜明,富有爱国主义精神,是战后波兰观众人数最多的一部影片。
回复 :达科塔·约翰逊将主演新片《劝导》,改编自简·奥斯汀同名小说,托尼奖提名戏剧导演凯莉·克拉克内尔首次执导剧情长片。本片是现代版改编,讲述安妮·艾略特是个具有新潮情感、不顺从常规的女人,和她势利、濒临破产的家人生活在一起。当安妮曾经打发走的风度翩翩、时髦潇洒的弗雷德里克·温特沃斯重新出现,她必须做出选择:把过去抛在脑后,或是有第二次机会听从自己的内心。罗纳德·巴斯(《雨人》《我最好朋友的婚礼》)和爱丽丝·维多利亚·温斯洛写剧本,Netflix和MRC Film联合制作,5月开拍。
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :生长在单亲家庭的敏雅(林秀晶 饰)是个酷爱摇滚音乐的高中生,她并不是“不良少女”但却会吸烟喝酒。她是个浪漫主义的人,希望自己的爱情能够一帆风顺。一天,在敏雅楼下搬来了一名英俊的大学生英宰(金来沅 饰)。英宰直言不讳说自己对敏雅一见钟情,继而展开一系列的追求攻势,企盼能得到敏雅的欢心。虽然敏雅觉得英宰并不讨厌,可是她依然怀疑英宰的为人,她甚至跟踪英宰,想知道英宰结识的是什么朋友。经过英宰多番的努力,敏雅才向他敞开了心扉,两人开始了爱情故事。当敏雅向母亲诉说恋爱感受的时候,她对自己的这次初恋依然模糊。